Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
il y a 5 ans
De ma vie, je n’avais connu que la fessée. Le martinet entra pour la première fois dans la maison après m’être compromis dans une mésaventure dont mon camarade Tony avait le génie et qui aurait pu mettre en grand danger notre petite bande de copains.
J’avais douze ans et demi et lui avait treize ans. A cet âge de l’a d o l e s c e n c e nous ne mesurions pas la portée de nos actes. Ce qui allait changer pour moi avec ma première leçon de martinet.
Dans mes précédents récits, je vous ai dit que de nombreux camarades habitaient dans ma rue. La plupart étaient issus de familles nombreuses où la fessée régentait la maisonnée. Le martinet n’en était pas absent mais surtout à titre « préventif » alors que chez Tony il était actif et plus qu’il ne l’aurait voulu. Et plus sa témérité s’accroissait avec l’âge, plus le martinet se faisait fort de la tempérer.
Nous jouions souvent ensemble car la rue et la proximité d’espaces naturels le permettaient, mais un jour une initiative malheureuse valut à notre petite bande de copains une fessée collective en plein air et pour moi, pour la première fois de ma vie, une fessée au martinet.
Au fond d’une prairie il y avait une espèce de bassin dont j’appris plus tard qu’il s’agissait d’un bassin de décantation d’une usine toute proche. Au milieu, émergeait une plateforme en béton qui, à nos yeux émerveillés, apparaissait comme « l’île au trésor ». Deux gros futs abandonnés sur la rive firent l’affaire. A treize ans, Tony eut comme un déclic et nous proposa de construire un radeau et, tels des pirates, nous emparer de ce fabuleux butin.
C’est ainsi qu’il persuada chacun de nous, Didier, sa grande sœur Yolande et sa copine Martine, Aubry, ma cousine Marie-Pierre et moi d’apporter outils, planches, cordes, bref, tout le matériel nécessaire au projet.
Le bassin était d’un accès difficile car il était entouré de parois abruptes. On eut besoin de cordes pour descendre jusqu’à la rive. De plus, l’aspect peu ragoutant de l’eau n’invitait pas à la baignade. Tony et moi mîmes tout notre enthousiasme d’aventuriers à chasser les grimaces de dégoût des filles. Notre radeau enfin prêt à prendre le large, sept valeureux pirates, tous dotés d’une parfaite inconscience, en slip et petite culotte, shorts laissés sur la berge pour ne pas les mouiller, embarquèrent hardiment sans connaître la profondeur réelle du bassin et, pour certains comme moi, sans savoir nager.
Nous entendîmes des badauds qui s’amusaient à nous voir tous les sept assis à califourchon sur ces futs, souquer ferme sur la trentaine de mètres qui nous séparait de « l’île » convoitée. Mais y eut une voix discordante. Un rouspéteur mal luné nous menaça de ses foudres.
« Garnements, c’est trop dangereux ! Je vais appeler la gendarmerie ! »
Il agitait son poing, et son air furieux nous fit bien rigoler. A peine avions nous débarqué sur « l’île » que notre radeau commença à dériver. Quelle guigne ! Ma cousine Marie-Pierre et Yolande se mirent à pleurnicher. Voilà bien les filles ! Je les rassurais en leur montrant que Tony et Didier s’apprêtaient à le rattr a p e r.
Tout à coup on vit arriver une voiture de gendarmerie. Ça se gâtait ! Pas question de désobéir ! Le temps de chevaucher notre radeau pour regagner la rive, des parents avaient rejoint le groupe de badauds, pas contents, mais pas contents du tout ! Notre exploit ne paraissait pas les enchanter… Pas bon signe tout ça ! On aurait juré qu’il y avait de la fessée dans l’air ! Alors, qui de nous sept sera le premier à escalader la paroi avec la corde pour affronter la colère parentale ? Vite enfilons nos shorts !
On tira presque à la courte paille l’ordre des futurs punis.
Le sort désigna Tony le téméraire instigateur de l’expédition, suivi d’Aubry puis des trois filles Martine, Yolande et Marie-Pierre, Didier et moi étant les derniers de cordée !
Avec le recul et avec un tantinet d’exagération, je m’imagine ce que le spectacle aurait pu avoir de folklorique pour un passant. Quelle ambiance de fête mes amis ! Baraque à frites, marchand de glaces et flonflons auraient assuré le décor du spectacle champêtre de paires de fesses rougissant sous les claques ! J’en ris de bon cœur. Il me semble voir et entendre encore…
J’étais à mi-hauteur de la paroi quand me parvinrent des bruits à me faire reculer de peur. Les sermons des gendarmes se mêlaient aux voix irritées de parents, à des pleurs et bruits de claques.
Me hissant sur le rebord de la paroi, j’aperçus Martine, ses jambes lançant des ruades, ses fesses déjà toutes rouges, implorant son père lui-même gendarme qui la sermonnait tout en la fessant posément.
Un peu plus loin, Aubry n’en menait pas large aux prises avec sa mère qui tenait une ceinture pliée en deux. On la connaissait pour sa sévérité mais il faut dire qu’Aubry le cherchait bien car il n’en faisait qu’à sa tête, c’est dire le nombre de bonnes fessées qu’il recevait.
Courbé sur les genoux de sa mère, short et slip abaissés aux chevilles, Aubry se démenait pour éviter la fessée en lui demandant pardon, mais il était trop tard. Ses fesses tressautaient déjà sous les puissantes cinglées de la ceinture de cuir, chaque coup imprimant une large traînée rouge. Des badauds applaudirent au spectacle des réprimandes et des cris.
« Très bien, Madame, voilà ce qu’il faut à ces chenapans ! Une bonne fessée cul nu ! »
« Aïe ! Ouille ! Pardon Maman, arrête ça brûle ! »… « Tu vas apprendre à ne plus désobéir !… Sinon gare à tes fesses !… »… « Tu vas voir ton père ce soir à la maison !… »…
Didier et Yolande n’échappèrent pas aux représailles. Le frère et la sœur payèrent à tour de rôle leur folle équipée. Une vieille souche d’arbre offrit un siège de fortune mais assez confortable pour les intentions de leur mère : les fesser chacun leur tour.
« Vous deux, j’espérais que vous étiez devenus assez sages pour ne plus commettre ces bêtises. Vous me décevez et je vais devoir vous punir et ce sera une bonne fessée déculottée. Yolande, tu es pourtant la plus sage des deux, approche ! »
Affalée en travers des cuisses de sa mère, Yolande fut incapable de soustraire sa petite lune à la main vengeresse qui s’abattait comme un métronome sur elle fardant peu à peu la peau blanche d’un superbe rouge écrevisse. Comme elle tentait de protéger l’une de ses fesses, la réaction de sa mère ne se fit pas attendre.
« Je t’ai dit cent fois qu’on ne protège pas ses fesses pendant une fessée ! Tu recevras le double ! »
Figé d’inquiétude, j’entendis s’établir un concert discordant où s’entremêlait un pêle-mêle de sons et de bruits de couleur et d’intensités variées : mots de reproches ou d’approbation, claques retentissantes, supplications, pleurs, gémissements, cris…
« Je vais m’occuper de tes petites fesses ! »… « Mais Maman ! »… « Il n’y a pas de Maman qui tienne. La fessée déculottée comme tous les autres ! »… « Non, non Maman ! Aïe ! Ouille ! »… « Ah ! tu veux protéger tes fesses mon garçon ? Alors ce sera la raclée de martinet une fois à la maison ! »…
« Didierà nous deux mon gaillard ! Tu vas savoir ce qu’il en coûte de me désobéir et d’entraîner ta sœur dans cette histoire ! Elle, je l’ai fessée mais à contrecœur, mais toi qui fais le malin, ce sera avec plaisir car tu ne l’as pas volée cette correction ! Déculotte-toi en vitesse, ça va chauffer ! »
Ma tante sentit certainement l’inspiration lui venir en voyant les mères de Martine et Yolande en pleine action. Après un moment de flottement, elle se décida. Ma cousine disparut courbée sous le bras de sa mère, son postérieur rapidement déculotté s’arrondit, en position idoine pour accueillir les claques. J’aimais bien ma cousine, et en entendant ses premiers pleurs, je détournai mon regard de son fessier qui commençait à rosir pour le porter vers Tony.
A treize ans, Tony était un grand et bel a d o l e s c e n t dont l’intrépidité de mauvais génie pour inciter ses copains à mal agir se soldait par de vigoureuses corrections où le martinet remplaçait la simple fessée. A la différence des autres mères de la bande, celle de Tony était une femme d’une bonne trentaine d’années d’une taille qui en imposait à tous. Fervente adepte du martinet, elle en usait volontiers sans le moindre état d’âme quand Tony le méritait. C’est-à-dire souvent. De fait, elle le sortit d’une large poche de son tablier.
La vue des martinets accrochés en permanence dans les cuisines me faisait toujours frissonner. Je redoutais particulièrement cet instrument surtout à cause des marques visibles qu’il laissait sur les cuisses et qui désignaient clairement ceux qui venaient d’être fouettés. Quelle honte ! J’estimais donc que j’avais la chance de ne recevoir que des fessées et seulement à la maison. Enfin, je n’avais jamais compris comment les fesses d’un Tony, plutôt fessu, pouvaient résister aux longues et épaisses lanières de cuir bruni. Du reste, combien de paires de fesses avait-il cinglées depuis le temps, ce martinet des familles ?
Sous nos yeux, elle obligea son fils à se déculotter complètement, lui fit ramasser et tenir son short, puis elle rangea le slip dans la pocheventrale de son tablier. Puis, le maintenant par un bras, elle commença à le faire avancer en lui fouettant sa croupe toute nue à coups de martinet.
J’entendais bien Tony couiner, mais bizarrement il restait debout sans trop bouger, sa croupe seule se dérobant par réflexe sous l’impact des lanières. Après une douzaine de coups de martinet qui marquèrent la peau de zébrures rouges, sa mère le poussa en avant et, tout en marchant en direction de leur maison, elle lui cinglait les fesses, les cuisses, les mollets à toute volée sans s’arrêter.
Contrecoup à la tension dramatique, les gesticulations de Tony me donnèrent envie de rire comme sa mère et lui s’éloignaient. Je ne l’entendais plus crier et de loin, les écarts, contorsions et tortillements qu’il faisait pour éviter les coups de martinet avaient quelque chose de comique. Chaque fois que de sa main libre, il tentait de parer le coup, c’était un temps trop tard. Les lanières qui venaient de lui mordre les fesses s’attaquaient déjà à ses mollets. Pauvre Tony ! Ce qu’il subissait à l’instant n’était que le prologue d’une vraie correction qu’il reçut le soir même. On en vit le résultat le lendemain à ses cuisses et mollets couverts de zébrures.
Par chance, mes parents étaient absents. J’allais me défiler quand je sentis une main se poser sur mon épaule. C’était une gendarme.
« Et où vas-tu comme ça jeune homme ? Il n’est pas normal que tes petits camarades soient seuls punis. Puisque tes parents n’ont pas été avertis nous allons te reconduire chez toi et veiller à ce qu’ils te punissent comme tu le mérites ! »
J’eus beau m’éreinter à dire qu’il n’y avait personne à la maison, on me fit monter dans le combi « pour aller voir chez toi ».
La honte ! A douze ans dans un combi de gendarmerie devant mes voisins ! »
Ma mère était bel et bien à la maison. Quand les gendarmes l’eurent informée des événements, elle les remercia, leur annonça qu’elle allait me punir comme les autres e n f a n t s.
« Herbert, file dans ta chambre je vais m’occuper de toi ! »
Les gendarmes partis, on sonna à la porte. C’était la maman de Tony. Que venait-elle faire. Certainement pas pour prendre le café comme d’habitude. Je me penchai sur la balustrade du palier et dressai l’oreille.
Elles évoquèrent l’événement, les fessées en public, etc. Confirmant dans les détails tout ce que ma mère venait elle-même d’apprendre de la bouche des gendarmes et qui ne pouvait que la motiver pour me punir comme mes copines et copains. Jusque-là, rien pour la faire revenir sur ses intentions. Tout à coup, je tressaillis. La mère de Tony mettait mon nom en avant.
« Seul ton fils n’a pas été puni. Pourtant, Herbert est aussi responsable que Tony car ils se sont mis à deux pour entraîner les autres dans cette aventure qui aurait pu mal tourner ! »
« Ne t’inquiète pas. Herbert est dans sa chambre où il attend que je lui administre la fessée promise. »
« Une simple fessée ?… Tu veux dire une petite fessée comme les plus jeunes ? Mais enfin Herbert a douze ans maintenant ! Il a largement passé l’âge de la fessée ! Moi, ça fait plus d’un an que je corrige Tony au martinet ! »
Que voulait-elle insinuer en m’accusant de complicité et en parlant de martinet ?
« Je sais, j’y ai pensé bien sûr, mais je n’ai pas l’habitude de cet instrument, je n’oserais pas m’en servir. »
Cet aveu de ma mère me mit du baume au cœur. Il me suffisait d’avoir vu Tony et quelques autres copains recevoir le martinet pour en avoir la frousse. J’écoutais, m’agaçant d’entendre la mère de Tony persuader la mienne de changer ses habitudes.
« Pour des grands garçons comme eux, c’est bien mieux qu’une fessée ! Dix paires de claques sur les fesses nues ne remplacent pas dix coups de martinet bien sentis ! Tu peux même te contenter de quelques allers-retours de martinet sur les cuisses sans te donner la peine de déculotter, c’est vite fait et sans peine pour nous. Et crois-moi, après une bonne volée de lanières, ils ne sont pas fiers d’aller à l’école et montrer aux copains leurs cuisses zébrées de rouge au-dessous de leur culotte courte. Comme je te le lis, tu devrais essayer ! »
De quoi se mêlait-elle, celle-là ! Qu’elle aille au diable, elle et son martinet !
En fait son ton autoritaire et les faibles réactions de ma mère commençaient à me tourmenter. Je revoyais Tony à demi nu piaffant de douleur sur le chemin du retour tandis que sa mère le faisait avancer à grands pas à coups de martinet. Il était facile d’imaginer ce qu’il avait dû déguster pour de bon une fois chez lui.
Consterné, j’en étais à ces pensées effrayantes quand ma mère m’appela.
« Herbert descends immédiatement ! On a la visite de la maman de Tony. »
Je les rejoignis, pas rassuré du tout. Et soudain, je LE vis ! C’était bien le martinet de Tony qui étalaient ses vilaines lanières de cuir luisant sur la table. D’un coup, je sentis mes jambes mollir.
Puis je me fis remonter les bretelles comme jamais. Elles m’écrasèrent de reproches et de réprimandes où il était question d’inconscience, d’eaux sales et dangereuses pour la santé, des risques que Tony et moi avions fait prendre aux autres, etc. Tête baissée, j’écoutais ému, tremblant de repentir.
« Pardon, Maman ! » m’écriai-je dans un élan après avoir pris la mesure de notre stupidité et de notre désobéissance.
« Herbert, dit-elle, tu es aussi fautif que Tony qui lui, a reçu le martinet et pas une petite fessée. Et comme tu as presque le même âge que lui, il est donc juste que tu sois puni comme lui. La maman de Tony m’a apporté son martinet et elle se propose gentiment de me montrer comment faire pour te fouetter. »
Je restai sans voix, médusé, incapable de réaliser que ma mère ne s’assiérait pas sur une chaise pour me prendre sur ses genoux et me fesser comme d’habitude.
« Maintenant, baisse ton short et ton slip comme tu le fais pour la fessée. »
Après la mère de Didier, c’était la seconde fois qu’une femme autre que ma mère allait me corriger à derrière nu et la punition, aggravée de honte n’en était que plus cuisante. Impossible de désobéir à ma mère ! Je commençai à me déculotter tandis que la mère de Tony discutait des préparatifs et de la meilleure manière de fouetter les fesses à coups de martinet sans risque de blesser.
« Ah ! L’accoudoir de ton canapé de cuir est parfait. Une fois allongé dessus Herbert sera en bonne position et ses petites fesses gentiment ressorties prêtes pour sa correction au martinet. » dit-elle en désignant l’un des accoudoirs formant comme un gros boudin de cuir rembourré.
« Herbert, enlève complètement ton short et ton slip et va t’allonger à plat ventre sur cet accoudoir ! »
Cette fois, l’ordre émanait de la mère de Tony et sa voix avait perdu son ton amène. D’un hochement de la tête, la mienne me signifia que je n’avais pas d’autre choix que d’obéir. Sans même songer à dissimuler mon pénis, j’allai m’allonger sur l’accoudoir, saisi par le contact froid du cuir sur mon ventre tiède. Les bras et le buste allongés sur le canapé, je me rendis compte que ma croupe, rehaussée par le gros accoudoir se dressait en l’air, toute nue et sans défense.
Mon cœur palpitait d’une sourde émotion. Ce n’était pas tant à cause de la douleur inconnue à venir, les coups d’un martinet étant certainement plus insoutenables que les claques aussi virulentes fussent-elles, que de la honte de ne pas avoir mesuré les conséquences de mon énorme bêtise.
« Comme tu le vois, le derrière de ton fils est bien rebondi donc parfaitement apte à recevoir le martinet. Ses fesses sont parfaitement calées et leurs rondeurs convenablement étalées pour bien sentir les lanières du martinet. Ensuite, c’est tout simple, tu as le même choix que pour la fessée. Soit tu lui fouettes les fesses l’une après l’autre, coup après coup, ou par séries de plusieurs coups, soit tu fouettes les deux fesses en même temps. Même chose pour ses cuisses, et comme elles sont suffisamment serrées, aucun risque d’atteindre ses petits bijoux de famille. »
J’aurais bien aimé que ces conseils abominables proviennent d’un cauchemar qui se dissiperait dès mon réveil, mais mon nez collé contre les coussins du canapé, je sentais l’odeur du cuir humide de ma transpiration.
« Herbert tu as douze ans maintenant et il est temps que tu comprennes que tu ne dois plus faire de bêtises et que si jamais ça se produit, ta mère te punira d’une bonne fouettée de martinet comme je vais le faire moi-même maintenant. »
Comme je tournais la tête, je vis qu’elle s’approchait de moi son martinet à la main et prenait position à l’aplomb de mes fesses. Je fermai les yeux et dans un sursaut, je voulus négocier avec ma mère, l’implorant avec une voix de petit garçon.
« Maman, pas le martinet, s’il te plaît ! Donne-moi deux fessées si tu veux ! Une maintenant et une autre ce soir au coucher ! »
« Des simagrées tout cela ! Tu n’as pas honte Herbert ? Une vraie fillette ! » cria la maman de Tony. Ne te laisse pas attendrir par sa ruse. Il a peur du martinet ! C’est le commencement de la sagesse. »
m o r t ifié, je n’attendis pas la réponse de ma mère, un simple « Tais-toi et obéis ! ». Résigné, je crispai mes fesses d’appréhension m’attendant au pire dès le premier coup tout en m’eff o r ç a nt d’être aussi courageux que mon ami Tony.
Je perçus un mouvement, puis un choc sur ma fesse droite signalé par un bruit sec de claquement. Tiens ! Cela faisait moins mal que prévu ! m’étonnais-je plutôt rassuré.
Puis un autre petit choc survint sur ma fesse gauche. Même sensation de pincement suivie de picotements qui faisaient échos à ceux de la fesse droite qui reçut un nouveau coup. Cette fois, les picotements se firent plus intenses comme s’ils voulaient s’installer pour durer à l’intérieur de ma fesse. Ma fesse gauche eut la même dose. J’avais compté quatre coups de martinet en tout et ce n’était pas si méchant que ça. J’avais eu tort de m’affoler.
Ma tranquillité fut éphémère car les cinglées continuaient mais appliquées avec une f o r c e croissante. Les picotements qui s’étaient accumulés se transformaient en piqûres d’aiguilles qui par centaines pénétraient profondément mes chairs. La douleur était moins envahissante que celle produite par les claques d’une main épousant la surface entière d’une fesse, mais plus virulente, plus tenace.
Je commençais à avoir mal et ne retrouvais pas les parades habituelles qui m’évitaient de trop souffrir pendant une longue fessée.
« Herbert, arrête de tortiller tes fesses et relève-les ! »
Je fis de mon mieux pour tendre mon derrière de peur que la mère de Tony pense que je voulais lui désobéir et qu’elle m’en punisse plus sévèrement. Les coups étaient suffisamment espacés pour me permettre de gémir puis d’avaler une bouffée d’air avant le coup suivant. Dans ces intervalles, elle expliquait à ma mère comment retenir le martinet pour donner aux lanières un effet plus cinglant sans f o r c e r l’allure du coup. Et de fait, j’avais l’impression que chaque coup fendillait ma peau sans la brutaliser y laissant des sillons brûlants.
Puis il y eut un changement de tactique. Au lieu de fouetter une fesse après l’autre, les lanières enveloppaient les deux joues fessières d’une même retentissante cinglée qui installa une sensation durable de brûlure dans toute ma croupe. La cuisson produite était intenable, m’arrachant des cris à la place des gémissements. En réaction à la douleur je soulevais mes jambes l’une après l’autre en trépignant de douleur, obtenant un nouveau changement de tactique.
« Comme tu le vois, Herbert réclame que je lui marque ses cuisses. Ne le faisons pas attendre. »
Et là, je découvris avec horreur la douleur particulièrement atroce d’une fouettée sur la peau tendre des cuisses. J’ignore comment j’ai pu la supporter, mais je me mis à implorer de toutes mes f o r c e s la mère de Tony qui refusa de m’entendre. Mes mains agrippaient désespérément le coussin du canapé, mes jambes lançaient des ruades désordonnées avec des écarts malencontreux par lesquels se faufilaient les lanières qui écorchaient la peau fine de l’intérieur de mes cuisses.
C’est à ce moment-là que je cessai de gémir pour hoqueter des s a n g lots. Et comme s’ils avaient attendri la mère de Tony, la correction s’arrêta subitement. J’eus une brève lueur d’espoir vite éteinte.
« Ton fils n’est pas loin d’avoir compris la leçon. Maintenant, à toi de prendre le martinet. Tu donnes encore dix coups sur ses petites fesses rouges. Après on verra. »
L’inexpérience de ma mère joua en ma faveur. Les premiers coups étaient emprunts d’hésitation et de timidité, tombant d’une façon irrégulière. Les derniers, plus assurés, plus nerveux, ravivèrent la cuisson qui avait commencé à s’estomper.
Après avoir juré que j’avais honte de ce que j’avais fait, je fus autorisé à me relever. A peine debout, je sautillais et me dandinais sur place agrippant furieusement tour à tour mes fesses et mes cuisses qui grésillaient de douleur.
Pleurant à chaudes larmes, je demandai pardon de tout mon cœur. J’étais sincère car cette leçon de martinet m’avait effectivement ouvert les yeux sur mon imprudence et les risques auxquels j’avais exposé plus jeunes que moi.
Ma mère me fit mettre au piquet dans un coin du salon, bras croisés dans le dos et je n’en fus libéré qu’après qu’elle eut offert une tasse de café à la mère de Tony pour la remercier de ses conseils et de son aide. J’eus ainsi tout le temps de me sentir comme soulagé d’avoir été fouetté de cette manière pour ma mauvaise conduite. Tout rentrait dans l’ordre des choses.
L’influence de la mère de Tony fut déterminante car dans le courant de la semaine, la mienne fit l’emplette d’un martinet et de culottes aussi courtes que celles de Tony. « Pour lui faire honte quand il va à l’école » avait-elle dit. Le martinet devint l’instrument de discipline privilégié de ma mère. Dès lors, il monta la garde dans notre cuisine comme chez tous nos voisins. Il y resta plus de deux ans, en remplacement ou en complément de la fessée manuelle qu’affectionnaient mes parents. Marcher dans la rue ou aller à l’école vêtu de mes nouvelles culottes courtes qui découvraient largement mes cuisses zébrées par le martinet fut une épreuve plus dure que la correction qui les avait mises dans cet état. Une épreuve à laquelle je fus soumis le lendemain même de notre dangereuse expédition qui eut une autre conséquence fâcheuse que cette leçon de martinet.
En effet, la rue découvrit rapidement qui en étaient les deux instigateurs. Ça se mit à rouspéter et exiger des comptes. Pour apaiser les tensions, nos deux mères décidèrent que Tony et moi rendions visite à tous les parents dont nous avions mis leurs e n f a n t s en danger en se passant de leur permission.
Accompagnés de nos mères, nous dûmes implorer leur pardon à genoux. Par bonheur, la vue de nos cuisses encore rougies et du martinet qui ressortait de la poche du tablier de la mère de Tony furent les preuves tangibles des corrections que nous avions reçues la veille.
À partir de ce jour, les fouettées au martinet me furent systématiquement administrées à derrière nu selon le rite institué par la mère de Tony. Je devais me rendre dans ma chambre, me déculotter entièrement puis, nu de la taille aux pieds, descendre rejoindre mes parents au salon. Nul besoin d’ordres de leur part car, suivant la démonstration de la mère de Tony, la posture de correction sur l’accoudoir du canapé devint une simple routine. Je devais seulement veiller à bien hausser ma croupe et à remuer le moins possible.
La seule variété d’une correction à l’autre relevait de la gravité de la faute qui déterminait le nombre et la f o r c e des coups de martinet qui devaient faire de moi un garçon bien repentant.
Herbert
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Excellent récit ! Il est très révélateur d'une certaine éducation durant les années soixante. Le martinet était en effet l'objet éducatif roi que possédaient de nombreuses familles. Je l'ai bien connu mais davantage sur les cuisses nues car j'étais le pl | |
car j'étais le plus souvent en culottes courtes |
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